Cassis 14/15 sept 2024

Mis en avant

Il pleut, il fait froid. Difficile à croire mais le mois d’août s’est arrêté il y a moins de 15 jours. Ça a soufflé fort toute la semaine paraît-il, l’eau ne sera pas chaude.

Qu’importe, on verra bien. Allez, cassos…

Cassis !

Ce qui est bien, c’est que c’est pas loin.

Arrivée au petit matin sur le port, on commence à s’installer sur le bateau, qui fait aussi office de vestiaire. Heureusement, le beau temps est de mise, bien que frisquet.

Le bateau quitte le port, direction la pointe Cacao, à la sortie de la baie. Immersion. L’eau est froide, 13°. Pas de thermocline. Le mistral a chassé les eaux chaudes de surface vers le sud.

La visibilité est incroyable, le courant souffle sur la pointe. On se colle à la roche pour revenir vers le bateau. Les mérous, eux, évoluent sans peine.

Et puis, en fin de plongée, au hasard d’un rocher… la photo.

Royale !

Le retour est bref, et on se retrouve attablé au restaurant, à 2 pas du bateau.

Mais l’été a fait son retour. Les terrasses sont pleines, les touristes déambulent sur le port, et le soleil arrose tout ce beau monde. On est content de reprendre la mer dans la perspective de se rafraîchir.

Plouf

Bon, l’été tarde à revenir sous la surface, nous voilà bien vite rafraîchis !

Castel Vieil. Ses tombants, de 0 à 20m, puis de 20m à 50m, ses grottes où le corail rouge repousse. Les gorgones, en dessous de 30m, restent vaillantes.

Chacun explore le tombant, libérant des chapelets de bulles qui habillent les parois de colliers de perles.

Parfois, le paysage a lui seul suffit pour exprimer la beauté de la nature. Et parfois, ça tricote un peu plus…

Un petit détour par la calanque d’En-vau, la plus belle, avant le retour au port qui sera l’occasion pour certains de profiter des glaces et des terrasses.

On se retrouve au camping pour le traditionnel apéro, avec une dose conséquente Du Planteur d’Isa !

Nous enchaînons ensuite sur le poulet -coco, préparé avec amour par Sof, qui n’en profitera même pas. Nous pensons fort à elle, tellement tout le monde se régale. Merci Sophie !!!

Et c’était sans compter sur son accompagnateur, le riz de Lolo, divinement cuit, et aux quantités parfaitement dosées. Chapeau l’artiste, je n’en n’ai jamais douté.

Lolo confirme l’exercice avec 3 gâteaux « simples » mais bons !  Pluie de louanges pour les cuistots, on est prêt à aller dormir.

Plouf

13°. Évidemment, la nuit, le soleil dort aussi…

Morgiou. La grotte Cosquer n’est pas loin, mais l’accès est interdit. Nous voilà à l’est de la grotte. J’imagine Cosquer découvrant ces tombants et l’entrée de la grotte. J’imagine ces tombants il y a 10000 ans, arpentés par d’autres hommes, la mer à des centaines de mètres de là. Mais nous, nous explorons la falaise, comme des oiseaux. Les gorgones peuplent les lieux, et quelques gorgonocéphales s’y reposent.

La température hivernale sous-marine aura eu raison de plusieurs d’entre nous, c’est donc en effectif réduit que nous constatons les 2 degrés gagnés. Nous plongeons sous les trémies, ancien port d’extraction des carrières de calcaire de Cassis. Un chariot, vestige de cette activité, repose par 15m de fond.

Écho à la grotte Cosquer, nous pénétrons dans l’entrée d’une autre caverne, elle aussi fréquentée il y a 10000 ans.

Mais aujourd’hui, seules la peuplent quelques langoustes, et cigales que nous ne verrons même pas.

Comme un au-revoir, 2 énormes mérous disparaîtront dans les éboulis.

L’heure du retour sonne. Les yeux sont reposés et renferment de belles images : le soleil, la mer, et le bleu des profondeurs.

Merci à tous pour la bonne humeur. Vivement le prochain week-end.

Olivier

Premières Bulles à Fabrégas, le Compte rendu inattendu!

Après une année de préparation en piscine pour nous Niveau 1, et quelques rebondissements durant les préparatifs, l’heure du départ approche. C’est là que survient le drame : il n’y a plus de place dans le minibus pour la glacière contenant l’apéro !

Heureusement Peter maîtrise l’affaire. Finalement, tous les bagages et les gens sont chargés dans les minibus, et nous voilà partis.

On prend connaissance de ce que c’est qu’une organisation de week-end plongée : presque 40 personnes, 3 fourgonnettes remplies à ras-bord de 9 plongeurs, avec leurs gros sacs et leurs bouteilles. Ça rentre au chausse-pied…

 

Après environs 4h de trajet plutôt vite passées, nous arrivons à notre hôtel à La Seyne-sur-Mer : le Poséidon, là aussi c’est presque un hôtel à nous tout seul. Nous déchargeons rapidement les affaires pour aller ensuite profiter d’une petite bière sur la terrasse face à la mer, les pieds dans l’eau (d’où on pourrait d’ailleurs apercevoir notre futur site de plongée, le rocher des Deux Frères, s’il ne faisait pas déjà nuit).

Puis vient le moment d’aller au lit, mieux vaut être bien reposé pour le lendemain !

Samedi, debout à 7h30 pour aller prendre le petit déjeuner puis départ à 8h30 direction la plage de Fabrégas où se trouve l’Hippocampe, le centre de plongée qui nous accueillera pour ces deux jours. La motivation est au top et l’organisation est efficace !

 

Arrivée à l’Hippocampe, le lieu est tout à fait sympathique, tout comme nos hôtes Géraldine et Jonathan ! La météo est également au rendez-vous et promet une belle journée, malgré quelques petits nuages.

On décharge les minibus et on commence tranquillement à se préparer, puis c’est l’annonce des palanquées et le moment arrive : il faut s’équiper et embarquer sur les bateaux. Pas sans avoir montré patte blanche, le fameux certificat médical, qu’il faut mieux ne pas avoir oublié.

Combinaison, gilet, détendeur, bouteille, chaussons, masque, gants…  ça en fait du matériel, mais heureusement tout est là, et les bateaux ne sont qu’à quelques pas du club, donc le transport n’est pas trop difficile.

 

Les bateaux sont bien pleins et le matériel rentre à peine, mais tout le monde est là et nous prenons enfin la mer pour Les Deux Frères. Le trajet n’est pas très long mais grisant, surtout si on n’a jamais fait autre chose que de la piscine : on y est presque ! Ah! La mer qu’on voit danser le long des golfs clairs… tant attendue.

 

Une fois le bateau mouillé, on démêle le matériel et on finit de s’équiper (sans oublier le masque !). Nous avons droit à une présentation du site de la part de Jonathan, ainsi que les consignes de sécurité de notre DP.  Puis les palanquées commencent à se mettre à l’eau en bascule arrière. On n’a pas vu ça en piscine, mais ça n’a pas l’air si compliqué, et ceux qui le souhaitent s’y essayent joyeusement. Et effectivement ça passe tout seul, et ça met tout de suite dans l’ambiance!

Et puis l’eau s’infiltre dans la combinaison… C’est moins chaud que la piscine, mais finalement c’est tout à fait raisonnable… 16°C quand même !

Tout est OK : c’est le moment de descendre, on oublie de faire un phoque, où on ne sait plus trop comment faire… c’est difficile, l’eau bouge… (je crois que ça s’appelle des vagues) et on a un peu de mal à descendre. Du coup on s’aide du mouillage, et puis ça rassure un peu aussi (même si avec nos supers GPs on n’en a pas vraiment besoin). C’est que ça fait quand même une très grande piscine tout ça… On prend quand même le temps de descendre tranquillement, les oreilles passent plus ou moins facilement (voire pas du tout pour certains). Pour nous les Niveaux 1, il y a 2 petits exercices VDM & LRE, qui sont une formalité ou pas forcément…

 

Et on y est : une vraie plongée ! Et tellement d’espace ! Ça en est presque intimidant… Mais la sensation de liberté et le plaisir prennent vite le dessus, et le préjugé facile de « il n’y a pas grand-chose à voir en méditerranée » disparaît aussi bien vite… Il y a des choses qui bougent et qui nagent de partout, et pas que des dorades !

Notamment des choses étonnantes : gorgones, crénilabres, triptérygions, spirographes, doris, flabellines, et les algues et posidonies qui oscillent au fil des mouvements d’eau…

C’est clair et lumineux, et il y a tellement de couleurs…

 

Mais voilà qu’on s’approche des 50 bars fatidiques et c’est le moment de rejoindre le bateau. Au moment de monter sur l’échelle, on se rend compte qu’on avait un peu oublié le poids du matériel et le retour à la réalité est un peu difficile après presque 40 minutes passées à flotter sans effort !

Petit débriefing sur le bateau : on est descendu à 16m, et finalement on ne s’en rend pas vraiment compte.  A part Jean-Pierre peut-être, qui a pu constater qu’il était intéressant de surveiller le serrage de sa ceinture de plomb, notamment pour éviter qu’elle décide de faire bande à part pour aller explorer les profondeurs d’elle-même… Ça fait une expérience intéressante.

 

Retour à l’Hippocampe, sur le trajet on a toujours un peu la tête « sous l’eau »… Au centre il fait beau, mais l’eau chaude de la douche est quand même bien appréciée pour se rincer. On reproche à ceux qui sont dessous d’en profiter un peu trop longtemps mais on fait pareil…

Repas de midi à l’hôtel, ça creuse tout ça ! Et ça fatigue un peu aussi. On ferait bien une petite sieste mais il faut déjà repartir, et on oublie vite le petit coup de barre…

 

L’après-midi nous retournons au même endroit. Ceux qui n’ont pas eu de chance le matin avec les oreilles ont droit à une nouvelle chance et apparemment ça passe. Cette fois on a presque déjà l’habitude et on profite à fond, on découvre de nouvelles choses avec une nouvelle palanquée…

On essaye des choses un peu plus techniques, comme passer entre les deux rochers sous le courant, on n’y arrive pas forcément très bien et on s’essouffle, ce qui est finalement aussi une expérience.

Mais toutes les bonnes choses ont une fin, et cette première journée s’en approche… Heureusement ce n’est pas encore la fin des réjouissances car vient le moment de l’apéro monumental  sur la terrasse de l’hôtel face à la mer, les pieds dans l’eau.

Bières, chips, jus de fruits, cacahuètes et autres petits légumes à croquer, et surtout des quantités astronomiques d’un excellent « jus d’orange amélioré » sont au rendez-vous. On a bien fait de ne pas laisser la glacière sur le parking d’E2V… merci Claudine et Peter !

Puis Jef demande le silence dans l’assemblée pour une annonce : Rachel, Sandra, Jean-Pierre, Pierre & Clément sont désormais officiellement  de vrais plongeurs N1 ! Et pour marquer le coup on reçoit 2 carnets : l’un pour noter nos futurs niveaux et l’autre pour noter nos plongées en cours.

Après seulement deux plongées en milieu naturel c’était plutôt facile, mais c’est évidement grâce à nos excellents formateurs qui nous supportaient (dans tous les sens du terme) depuis Septembre… Un grand merci à Jef, Philippe, Pascal, Romain, Christophe, Pascale, Lucien… On est évidemment tous ravis, mais le plus content reste Romain, un de nos formateurs et papa de Rachel, heureuse lauréate.

 

Vient enfin le temps d’aller se coucher, la météo pour le lendemain s’annonce moins bonne, mais ce n’est pas quelques gouttes qui nous arrêterons (le vent par contre…).

Au final on apprécie quand même de se retrouver au lit, mais on se prend à regretter d’une certaine manière la gravité qui nous y cloue, sans qu’on puisse s’en élever d’une simple inspiration…

 

Dimanche, réveil à l’aube au chant des mouettes. Le départ est prévu à 8h00 : juste le temps d’avaler un petit déjeuner et c’est parti pour l’Hippocampe.

 

Le temps est effectivement en train de se dégrader, mais reste tout à fait acceptable pour notre plongée du matin, et c’est avec joie que nous retrouvons et enfilons notre équipement (le degré de joie étant néanmoins pondéré par le degré de séchage variable des combinaisons).

 

Cette fois les N2+ partent sur une épave : celle-ci est peu profonde (25m), mais c’est suffisant pour la rendre inaccessible aux nouveaux N1 que nous sommes. Nous retournons donc au site des Deux Frères, qui est loin d’avoir livré tous ses secrets, et les choses à voir ne manquent pas.

L’habitude venant, on essaye de faire attention à se repérer et à visualiser notre trajet, ce qui se solde par un échec à peu près total. Et on est du coup bien content d’être toujours sous l’égide de notre cher GP pour retrouver le bateau.

Rentrés au club, la météo continue son évolution et le vent s’est levé. Géraldine et Jonathan décident donc de déplacer les bateaux pour la plongée de l’après-midi, pour éviter de se retrouver bloqué par le vent dans l’anse de Fabrégas.

 

Le temps de prendre le repas au Poséidon et de rendre les clés des chambres, nous sommes de retour à l’Hippocampe. Certaines personnes décident finalement de passer leur tour pour cette dernière plongée, certainement découragées par le temps lourd mais aussi par la fatigue. Il faut dire que le rythme est quand même assez soutenu !

Cette fois nous chargeons le matériel dans les camions du club car nous nous rendons au port de Sanary-sur-Mer, où les bateaux nous attendent : destination l’archipel des Embiez et plus particulièrement le site de la Sèche de Guenaud.

La mer est agitée et le trajet en bateau est nettement plus éprouvant pour certains, notamment au moment de se préparer : il ne faut pas passer trop de temps à regarder le fond du bateau et le matériel… heureusement tout s’arrange une fois dans l’eau.

Mais les conditions sont aussi différentes : la luminosité et la visibilité sont notamment bien réduites par rapport au matin, et le froid semble également d’avantage présent, certainement à cause de la fatigue croissante.

Ce qui n’empêche en rien de profiter pleinement de cette dernière plongée, avec un petit bonus pour la fin : une remontée au parachute ! Et on se rend compte qu’il n’est pas très facile de maintenir la profondeur à 3m en pleine eau avec le courant. Certains essayeront bien de se tenir au parachute mais seront vite rappelés à l’ordre par leur GP…

 

Au club nous remballons le matériel dans les minibus dans une certaine effervescence (certainement à cause de la pluie battante, juste sur la fin du week-end et qui nous aura épargnée jusque-là).

Après un passage rapide au Poséidon pour récupérer quelques sacs, nous voici sur le chemin du retour pour Grenoble, des images et sensations plein la tête après ce week-end fabuleux.

 

Un grand merci à tous ceux qui ont participé à l’organisation, et participé tout court, ainsi qu’à nos hôtes géniaux de l’Hippocampe qu’on imagine déjà revoir l’année prochaine…

 

Signé Rachel, Sandra, Jean-Pierre, Pierre, et Clément

47ms down – avant première avec les vrais acteurs!

Beaucoup ne connaissent peut être pas encore ce monument du 7ème art sorti récemment en salle, dont l’intrigue et le réalisme technique ont facilement relégués « Jaws » et « le Monde du silence » au rang de vulgaires pastiches amateurs du cinéma subaquatique. Si je fais référence à ce film catastrophe au suspense haletant, c’est parce que ceux qui ont participé à la dernière sortie ESSOR en ont vécu toutes les intrigues…

Est-ce la conjonction des astres, ce que les Vajrayâna tibétains appellent le destin ou plus simplement un incroyable fruit du hasard, mais tous les ingrédients qui ont fait la réussite de ce film s’étaient rassemblés pour nous faire vivre l’aventure la plus intense que les week-ends Essor ne nous aient jamais proposés.

 

47m de profondeur et 73 min de tension ; une cage d’acier face à l’immensité des profondeurs sous-marines ; de jolies femmes (merci Isabelle et Belinda) et des hommes courageux ; le temps qui défile aussi inexorablement que les bars d’air comprimé ; cette inquiétude qui croît, qui assèche la gorge presqu’autant que l’air qui se raréfie ; et cette surface, ces cieux protecteurs si proches et pourtant inaccessibles…..

 

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Weekend plongée à Cassis, récit de Tina

Le weekend n’avait pas très bien commencé, avec cette vague de virus qui sévissait dans la région Grenobloise, 3 plongeurs avaient été mis hors-jeu.  Nous sommes alors partis en 2 vagues, la première après le déjeuner aux alentours de 14h, la seconde après le travail autour de 18h, avec le second van et seulement une voiture. La première équipe a pu goûter à la nourriture locale dans un restaurant méditerranéen de Cassis, tandis que l’autre équipe s’est arrêtée à une aire d’autoroute pour « déguster » un sandwich… En arrivant à Cassis, un village typique de la côte, il n’a pas été évident de se déplacer dans ce dédale, mais heureusement les chauffeurs ont réussis à trouver des places assez proches de nos hôtels.

En sortant du van, la première chose que j’ai remarquée était  l’agréable douceur de l’air, qui contrastait avec le froid qu’on avait subi à Grenoble ces derniers jours. Cette météo nous a permis de fêter les anniversaires de Peter et Hubert en buvant quelques bières dehors. Le temps ne pressait d’ailleurs pas vraiment, puisque l’ESSOR était en seconde rotation le lendemain, et le départ du bateau n’était prévu que pour 11h30.

Le premier jour de plongée commença avec un petit-déjeuner à « l’hôtel du commerce », suivi de l’habituel trajet pour transporter le matériel jusqu’au bateau. Malgré des prévisions  incertaines, la météo était clémente, le soleil brillait, la mer était calme. Un jour parfait pour plonger.  Le club « Le Narval » qui nous accueillait était situé à une centaine de mètres du port, ce qui nous a permis là encore de faire de l’exercice en portant les blocs avant et après chaque plongée.

Les gérants du club étaient très sympathiques, nous avons apprécié de plonger avec eux. Impatient de se remettre à l’eau pour la première plongée du weekend, nous sommes arrivés un peu tôt au port, nous nous sommes donc équipées en attendant l’arrivée du bateau. Après un petit trajet de bateau plutôt agréable, qui nous a permis d’apprécier les calanques, nous sommes arrivés à « la grotte à corail ». La température de l’eau était autour de 16-17 ° C, largement supportable avec une combinaison de 7 mm. Si les calanques étaient belles depuis la surface, elles l’étaient encore plus sous l’eau. Comme le  nom du site laissait présager, nous avons vu beaucoup de coraux rouges. A côté des coraux nous avons vu des murènes, chapon, congre, dorade royale, cigale de mer, castagnoles, anémone, rascasse. En remontant du bateau, on  a été accueilli par un « thé planteur » plus que bienvenu, une boisson chaude pour nous réchauffer en plus du soleil. Après notre première plongée, nous avons laissé tout notre équipement à côté des bouteilles sur le bateau. Fatigué de toutes ces aventures, dans le bon sens du terme, déjeuner à l’hôtel du commerce était exactement ce dont nous avions besoin. Avec nos estomacs pleins, nous avons fait une petite sieste avant notre deuxième plongée à 16h. Notre bateau nous a amenés au « jardin » pour la deuxième plongée, tout aussi agréable que la précédente. Notre soirée s’est terminée avec l’apéro sur le toit-terrasse de l’hôtel. Cet apéro, plutôt copieux, avec quelques mojitos maison, a été organisé par l’équipe Margaux / Peter. La meilleure partie du voyage est toujours de partager ses impressions avec d’autres plongeurs autour d’un verre. Nous avons terminé cette journée mouvementée par le dîner, en chantant «joyeux anniversaire» à Peter et Huber, mais cette fois avec un gâteau et des bougies.

Notre deuxième jour de plongée était organisé comme le précédent. Nous avons donc été bien plus  efficaces que la veille et nous sommes rapidement partis pour notre troisième plongée à « Baie Cacou ». Le déjeuner était toujours à notre hôtel, même si nous avons quitté nos chambres le matin.On se sentait encore somnolents après le déjeuner, et sans une chambre et un lit pour s’étendre, la moitié d’entre nous sont allés au «solarium», la terrasse sur le toit de l’hôtel où nous avions fait l’apéro la veille. Notre parfaite petite sieste a été interrompue par un bruit étrange de tôle froissée, une voiture a foncé dans sa voisine de devant, heureusement ce n’était pas nos camions ! Quoi qu’il en soit, il était temps pour notre dernière plongée de la semaine, « Castel Viel ». Un autre coin idéal pour la plongée, dans le parc national des Calanques, avec beaucoup de petites grottes sous-marines et des passages pour finaliser notre voyage.

Après un week-end à profiter d’une eau claire et de soleil, il était temps pour nous de rentrer chez nous.

Et tout cela grâce à Laurent qui était responsable de l’organisation du week-end, merci !

 

Supplique pour plonger à la plage de Sète

Salut tout le monde !
Alors, parlons peu parlons bien. Enfin, essayons tout du moins, il semblerait que j’ai une certaine habitude à m’étendre plus qu’il n’en faut.
Je prends donc la plume numérique pour venir conter la sortie des jeunes marsouins, fraîchement  (11°C…) passé niveau 1 en cette belle session dans le su’de la France, la susnommé Fabregas.
Ne nous mentons pas, voilà bientôt deux mois que l’escapade s’est déroulée, et au vue de mon grand âge, la mémoire fait vite défaut. Je vais néanmoins essayer de relater au plus proche la vérité. Cela ne devrait pas poser de problème, car comme vous le savez, nous, dans le sud, on ne déforme jamais rien ! (Et puis j’en ai profité pour regarder la vidéo d’Agnès, de fort bonne qualité, qui m’a rafraîchi la mémoire.)
 
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Rentrée 2015-2016

Bonjour

La rentrée pour la saison 2015/2016 s’effectuera le MERCREDI 9 Septembre 2015, à 18h00, à la Piscine Vaucanson.

Si vous souhaitez vous inscrire pour participer à une formation ou pour plonger, l’equipe sera heureuse de vous accueillir sur le parvis de la Piscine.

logo_EssorA bientôt…

Le Bureau