la prépa N2, que du bonheur!

Bonjour à toustes !

Après moults péripéties et une pluviométrie d’environ 137mm [1] répartie sur 5 week ends (soit 10 apéros), la promo des pN2 de 2023 est enfin sortie du four du lac ! 

Les heureux élus sont (par ordre de lestage) :

  • Guillaume (penser à perdre du gras)
  • Antoine
  • Cédric
  • Vincent
  • Manon
  • Clotilde (penser à plonger avec les blocs longs)

C’est donc l’occasion de décrire la formation et surtout de donner de précieux conseils qui feront de vous des plongeurs avertis, sécuritaires, respectueux de la flore et de la faune, beaux, qui sentent bon la rosée à l’aube à l’heure où blanchit la campagne [2] .

Tout d’abord, ne pas hésiter à bourrer un sac avec: une combi, une cagoule, des gants, des chaussons, des palmes, un masque, un tuba, une ceinture, des plombs, un sandwich, de l’eau, un maillot de bain, un slibard de rechange, un gros pull, une serviette sèche, son certificat médical à jour, sa carte de licence. ça c’est pour la partie “N1”.

Ensuite pour la partie “N2” vient l’ordi de plongée chargé, les tables immergeables, le parachute (+ son plomb et son bout, le tout noués ensemble), un phare chargé, éventuellement une boussole/compas.

Conseil : prévoir l’achat d’un ordinateur de plongée étanche et qui ne connaîtra pas un ADD (Accident De Désaturation) prématuré [3] .

RdV 8h pétantes à l’ALAS pour la remise des bouteilles, des stab, des détendeurs et de l’apéro

Une fois le minibus du CEA récupéré (conseillé pour éviter de partir à 4 voitures), s’ensuit le trajet, parfois mouvementé mais toujours avec la bonne humeur,  de Grenoble à Charpignat.

Conseils :

  • s’assurer de la connaissance du code de la route et du taux d’alcoolémie du conducteur. Prière de ne pas confondre une voie d’insertion avec une sortie.
  • Ne pas hésiter à lancer des débats clivants pour animer le minibus. Exemple : si le houblon est une plante, la bière est-elle une salade ? Un steak de tofu est-il encore un steak ? Sharknado 4, faux nanar ou plagiat éhonté de la planète des singes ? Beurre salé ou sucré ? Le mont St Michel est-il un biscuit sec et étouffant ? Un plongeur PADI est il intrinsèquement mauvais ou sont-ce les plongeurs FFESSM qui sont largement meilleurs ?

Tant de questions qui resteront sans réponse puisqu’on arrive. Les choses sérieuses commencent alors. On commence par gréer les blocs et on enchaîne sur le briefing général/petit-déjeuner. Puis juste après le moment de s’équiper, c’est l’occasion de comparer les modèles de combi et d’essayer de les mettre. On se met ensuite à l’eau. Le plan de bataille est le suivant : réaction aux signes de détresse puis remontées assistées, et enfin guidage de palanquée par un des élèves. La cerise sur le gâteau étant le lâcher de parachute, toujours un moment redouté par les élèves mais si drôle en surface. On peut finalement remonter en surface et débriefer la plongée avec son encadrant.

Conseils multiples:

  • Apporter des viennoiseries pour nos encadrants préférés, cela les pousse à valider le niveau plus vite. Il ne faut pas que ce soit la même personne qui les amène à chaque fois. Sinon ladite personne est cataloguée pourvoyeuse de croissant et son N2 ne sera jamais validé (le moniteur aime les croissants plus que l’envie de se débarrasser de nous…).
  • Utiliser des collants pour faciliter l’enfilage ou acheter une Beuchat.
  • Penser à ouvrir sa bouteille. Face au robinet, on ferme dans le sens des aiguilles d’une montre, on ouvre dans le sens trigonométrique.
  • Ne pas hésiter à faire réviser la procédure de remontée assistée aux moniteurs, rien ne vaut une démonstration technique.
  • Pour l’orientation, penser à ne pas tourner autour du compas.
  • Pour gonfler un parachute, ne pas hésiter à mettre l’octopus fusant dessous l’ouverture et pas au-dessus [4-5] .
  • Apprendre à utiliser son ordi avant d’annoncer ses paramètres de plongée. 

Intervalle de surface oblige, on peut manger tranquillement au soleil ou dans le minibus mais toujours dans la bonne humeur. Les débats sont relancés et de nouvelles questions apparaissent : Doit-on se fier à un encadrant qui confond ses élèves ? Peut-on vraiment être narcosé à 5 m ? Doit-on saucissonner le syncopé avec le bout du parachute ? Le lestage de bouées avec un pack de Leffe est-il recommandé par la fédé ?

A nouveau, nous n’aurons pas toutes les réponses, l’heure de la deuxième plongée est arrivée et on recommence tout mais en mieux (on essaie du moins). Il est de bon ton de tenir compte de la santé fragile et incertaine de vos moniteurs adorés (une syncope à 2m est si vite arrivée…)

Qui dit weekend Essor dit apéro, oui même en tek, c’est une nouvelle occasion de débriefer nos plongées. On prend ensuite le chemin du retour avec parfois un passage gonflage express à Chambéry (Merci au GSRL). Si la bonne humeur est toujours de mise, les discussions sont en général moins animées au retour, la fatigue ayant eu raison de quelques plongeurs. Dans le doute, mettez le conducteur sous caféine en intraveineuse.

La team Prépa N2

[1] https://meteofrance.com/, de fin avril à début juin

[2] Victor Hugo, Les Contemplations, 3 septembre 1847

[3] https://www.plongeur.com/forums/topic/69315-ordinateur-aqualung-i330r

[4] https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_de_Boyle-Mariotte 

[5] https://fr.wikipedia.org/wiki/Poussée_d’Archimède 

 

Premières Bulles à Fabrégas, le Compte rendu inattendu!

Après une année de préparation en piscine pour nous Niveau 1, et quelques rebondissements durant les préparatifs, l’heure du départ approche. C’est là que survient le drame : il n’y a plus de place dans le minibus pour la glacière contenant l’apéro !

Heureusement Peter maîtrise l’affaire. Finalement, tous les bagages et les gens sont chargés dans les minibus, et nous voilà partis.

On prend connaissance de ce que c’est qu’une organisation de week-end plongée : presque 40 personnes, 3 fourgonnettes remplies à ras-bord de 9 plongeurs, avec leurs gros sacs et leurs bouteilles. Ça rentre au chausse-pied…

 

Après environs 4h de trajet plutôt vite passées, nous arrivons à notre hôtel à La Seyne-sur-Mer : le Poséidon, là aussi c’est presque un hôtel à nous tout seul. Nous déchargeons rapidement les affaires pour aller ensuite profiter d’une petite bière sur la terrasse face à la mer, les pieds dans l’eau (d’où on pourrait d’ailleurs apercevoir notre futur site de plongée, le rocher des Deux Frères, s’il ne faisait pas déjà nuit).

Puis vient le moment d’aller au lit, mieux vaut être bien reposé pour le lendemain !

Samedi, debout à 7h30 pour aller prendre le petit déjeuner puis départ à 8h30 direction la plage de Fabrégas où se trouve l’Hippocampe, le centre de plongée qui nous accueillera pour ces deux jours. La motivation est au top et l’organisation est efficace !

 

Arrivée à l’Hippocampe, le lieu est tout à fait sympathique, tout comme nos hôtes Géraldine et Jonathan ! La météo est également au rendez-vous et promet une belle journée, malgré quelques petits nuages.

On décharge les minibus et on commence tranquillement à se préparer, puis c’est l’annonce des palanquées et le moment arrive : il faut s’équiper et embarquer sur les bateaux. Pas sans avoir montré patte blanche, le fameux certificat médical, qu’il faut mieux ne pas avoir oublié.

Combinaison, gilet, détendeur, bouteille, chaussons, masque, gants…  ça en fait du matériel, mais heureusement tout est là, et les bateaux ne sont qu’à quelques pas du club, donc le transport n’est pas trop difficile.

 

Les bateaux sont bien pleins et le matériel rentre à peine, mais tout le monde est là et nous prenons enfin la mer pour Les Deux Frères. Le trajet n’est pas très long mais grisant, surtout si on n’a jamais fait autre chose que de la piscine : on y est presque ! Ah! La mer qu’on voit danser le long des golfs clairs… tant attendue.

 

Une fois le bateau mouillé, on démêle le matériel et on finit de s’équiper (sans oublier le masque !). Nous avons droit à une présentation du site de la part de Jonathan, ainsi que les consignes de sécurité de notre DP.  Puis les palanquées commencent à se mettre à l’eau en bascule arrière. On n’a pas vu ça en piscine, mais ça n’a pas l’air si compliqué, et ceux qui le souhaitent s’y essayent joyeusement. Et effectivement ça passe tout seul, et ça met tout de suite dans l’ambiance!

Et puis l’eau s’infiltre dans la combinaison… C’est moins chaud que la piscine, mais finalement c’est tout à fait raisonnable… 16°C quand même !

Tout est OK : c’est le moment de descendre, on oublie de faire un phoque, où on ne sait plus trop comment faire… c’est difficile, l’eau bouge… (je crois que ça s’appelle des vagues) et on a un peu de mal à descendre. Du coup on s’aide du mouillage, et puis ça rassure un peu aussi (même si avec nos supers GPs on n’en a pas vraiment besoin). C’est que ça fait quand même une très grande piscine tout ça… On prend quand même le temps de descendre tranquillement, les oreilles passent plus ou moins facilement (voire pas du tout pour certains). Pour nous les Niveaux 1, il y a 2 petits exercices VDM & LRE, qui sont une formalité ou pas forcément…

 

Et on y est : une vraie plongée ! Et tellement d’espace ! Ça en est presque intimidant… Mais la sensation de liberté et le plaisir prennent vite le dessus, et le préjugé facile de « il n’y a pas grand-chose à voir en méditerranée » disparaît aussi bien vite… Il y a des choses qui bougent et qui nagent de partout, et pas que des dorades !

Notamment des choses étonnantes : gorgones, crénilabres, triptérygions, spirographes, doris, flabellines, et les algues et posidonies qui oscillent au fil des mouvements d’eau…

C’est clair et lumineux, et il y a tellement de couleurs…

 

Mais voilà qu’on s’approche des 50 bars fatidiques et c’est le moment de rejoindre le bateau. Au moment de monter sur l’échelle, on se rend compte qu’on avait un peu oublié le poids du matériel et le retour à la réalité est un peu difficile après presque 40 minutes passées à flotter sans effort !

Petit débriefing sur le bateau : on est descendu à 16m, et finalement on ne s’en rend pas vraiment compte.  A part Jean-Pierre peut-être, qui a pu constater qu’il était intéressant de surveiller le serrage de sa ceinture de plomb, notamment pour éviter qu’elle décide de faire bande à part pour aller explorer les profondeurs d’elle-même… Ça fait une expérience intéressante.

 

Retour à l’Hippocampe, sur le trajet on a toujours un peu la tête « sous l’eau »… Au centre il fait beau, mais l’eau chaude de la douche est quand même bien appréciée pour se rincer. On reproche à ceux qui sont dessous d’en profiter un peu trop longtemps mais on fait pareil…

Repas de midi à l’hôtel, ça creuse tout ça ! Et ça fatigue un peu aussi. On ferait bien une petite sieste mais il faut déjà repartir, et on oublie vite le petit coup de barre…

 

L’après-midi nous retournons au même endroit. Ceux qui n’ont pas eu de chance le matin avec les oreilles ont droit à une nouvelle chance et apparemment ça passe. Cette fois on a presque déjà l’habitude et on profite à fond, on découvre de nouvelles choses avec une nouvelle palanquée…

On essaye des choses un peu plus techniques, comme passer entre les deux rochers sous le courant, on n’y arrive pas forcément très bien et on s’essouffle, ce qui est finalement aussi une expérience.

Mais toutes les bonnes choses ont une fin, et cette première journée s’en approche… Heureusement ce n’est pas encore la fin des réjouissances car vient le moment de l’apéro monumental  sur la terrasse de l’hôtel face à la mer, les pieds dans l’eau.

Bières, chips, jus de fruits, cacahuètes et autres petits légumes à croquer, et surtout des quantités astronomiques d’un excellent « jus d’orange amélioré » sont au rendez-vous. On a bien fait de ne pas laisser la glacière sur le parking d’E2V… merci Claudine et Peter !

Puis Jef demande le silence dans l’assemblée pour une annonce : Rachel, Sandra, Jean-Pierre, Pierre & Clément sont désormais officiellement  de vrais plongeurs N1 ! Et pour marquer le coup on reçoit 2 carnets : l’un pour noter nos futurs niveaux et l’autre pour noter nos plongées en cours.

Après seulement deux plongées en milieu naturel c’était plutôt facile, mais c’est évidement grâce à nos excellents formateurs qui nous supportaient (dans tous les sens du terme) depuis Septembre… Un grand merci à Jef, Philippe, Pascal, Romain, Christophe, Pascale, Lucien… On est évidemment tous ravis, mais le plus content reste Romain, un de nos formateurs et papa de Rachel, heureuse lauréate.

 

Vient enfin le temps d’aller se coucher, la météo pour le lendemain s’annonce moins bonne, mais ce n’est pas quelques gouttes qui nous arrêterons (le vent par contre…).

Au final on apprécie quand même de se retrouver au lit, mais on se prend à regretter d’une certaine manière la gravité qui nous y cloue, sans qu’on puisse s’en élever d’une simple inspiration…

 

Dimanche, réveil à l’aube au chant des mouettes. Le départ est prévu à 8h00 : juste le temps d’avaler un petit déjeuner et c’est parti pour l’Hippocampe.

 

Le temps est effectivement en train de se dégrader, mais reste tout à fait acceptable pour notre plongée du matin, et c’est avec joie que nous retrouvons et enfilons notre équipement (le degré de joie étant néanmoins pondéré par le degré de séchage variable des combinaisons).

 

Cette fois les N2+ partent sur une épave : celle-ci est peu profonde (25m), mais c’est suffisant pour la rendre inaccessible aux nouveaux N1 que nous sommes. Nous retournons donc au site des Deux Frères, qui est loin d’avoir livré tous ses secrets, et les choses à voir ne manquent pas.

L’habitude venant, on essaye de faire attention à se repérer et à visualiser notre trajet, ce qui se solde par un échec à peu près total. Et on est du coup bien content d’être toujours sous l’égide de notre cher GP pour retrouver le bateau.

Rentrés au club, la météo continue son évolution et le vent s’est levé. Géraldine et Jonathan décident donc de déplacer les bateaux pour la plongée de l’après-midi, pour éviter de se retrouver bloqué par le vent dans l’anse de Fabrégas.

 

Le temps de prendre le repas au Poséidon et de rendre les clés des chambres, nous sommes de retour à l’Hippocampe. Certaines personnes décident finalement de passer leur tour pour cette dernière plongée, certainement découragées par le temps lourd mais aussi par la fatigue. Il faut dire que le rythme est quand même assez soutenu !

Cette fois nous chargeons le matériel dans les camions du club car nous nous rendons au port de Sanary-sur-Mer, où les bateaux nous attendent : destination l’archipel des Embiez et plus particulièrement le site de la Sèche de Guenaud.

La mer est agitée et le trajet en bateau est nettement plus éprouvant pour certains, notamment au moment de se préparer : il ne faut pas passer trop de temps à regarder le fond du bateau et le matériel… heureusement tout s’arrange une fois dans l’eau.

Mais les conditions sont aussi différentes : la luminosité et la visibilité sont notamment bien réduites par rapport au matin, et le froid semble également d’avantage présent, certainement à cause de la fatigue croissante.

Ce qui n’empêche en rien de profiter pleinement de cette dernière plongée, avec un petit bonus pour la fin : une remontée au parachute ! Et on se rend compte qu’il n’est pas très facile de maintenir la profondeur à 3m en pleine eau avec le courant. Certains essayeront bien de se tenir au parachute mais seront vite rappelés à l’ordre par leur GP…

 

Au club nous remballons le matériel dans les minibus dans une certaine effervescence (certainement à cause de la pluie battante, juste sur la fin du week-end et qui nous aura épargnée jusque-là).

Après un passage rapide au Poséidon pour récupérer quelques sacs, nous voici sur le chemin du retour pour Grenoble, des images et sensations plein la tête après ce week-end fabuleux.

 

Un grand merci à tous ceux qui ont participé à l’organisation, et participé tout court, ainsi qu’à nos hôtes géniaux de l’Hippocampe qu’on imagine déjà revoir l’année prochaine…

 

Signé Rachel, Sandra, Jean-Pierre, Pierre, et Clément

Soirée spéciale mercredi 18 octobre à la Nat’

Salut à tous, et surtout aux assoiffés!
On le sait, l’été fut aride. La traversée du désert quoi.
Mais après avoir fait suer élèves et moniteurs pendant un an (ou plus…), le résultat est là: des diplômés tous beaux tous neufs!


Alors pour fêter ça ensemble, la cuvée des diplômés 2017 paye un coup à boire à la Nat’ mercredi 18 octobre, après la piscine!!

Encore merci aux moniteurs pour leur investissement, on espère que cette bière vous requinquiera suffisament pour former les futurs diplomés 2017/2018 🙂

De la part des ex PN2, PN3, PN4 et prépa Initiateurs et MF1

Compte rendu des aventures à Cerbères!

Départ d’E2V à 18h pour nous en mini bus.  Après 6h de route nous y sommes, notre premier weekend de plongée en mer.

A peine arrivée, apéro ! L’essor nous met toute suite dans le bain.

1 er jour: nous sommes nombreux donc il y a deux rotations. Nous faisons partie de la deuxième, c’est grasse mat’, petit déj’ et bronzette.   Pour l’instant pas trop difficile d’être plongeur!

C’est l’heure, on descend avec le matériel. Il y a du vent, la mer a l’air agitée, bon ça va être certainement un peu sport !

Le bateau arrive ! Compliqué de monter dedans tellement il bouge.  

C’est parti, ça secoue bien dans le zodiac…pas facile d’équiper son matériel dans ces conditions. On regarde les têtes des voisins, personne ne s’inquiète.. bon ça  a l’air normal. On sent que tout le monde est impatient de plonger.

Le bateau s’arrête,  briefing et plouf.

Pas facile de descendre pour une première, malgré le lestage. Un phoque, 2 phoques …. Ça ne marche pas… Un phoque plus un canard et hop c’est gagné (merci JIM et JEFF 😉

C’est parti pour la descente le long de la corde pour découvrir enfin les fonds marins.

On ne lâche pas les palmes d’Hubert. La mer est agitée, la visibilité est moyenne, on n’a pas vu grand-chose mais pour une première, on n’est pas difficile.

Bon repas : salade et lasagne … la plongée ça creuse.

Une petite sieste est on est reparti pour une deuxième plongée. Cette fois-ci on a pu voir quelques poissons : un poulpe, des sars, et des dorades, Pas mal !!!)

Le soir apéro au punch !! Et remise des diplômes, ça y est on est N1 !!  Trop bien !

Jour 2 : c’est parti pour les plongées suivantes, visibilité bien meilleure, on commence à trouver nos repères, et on voit plus de poissons dont des corbes.

Le matin Greg nous a fait passer dans un tunnel, et veut communiquer avec nous, il commence à battre des coudes (mérou), on se dit pourquoi il fait la poule ? Un peu plus tard il tente de nous faire le signe de la langouste : et on s’est demandé pourquoi il nous montre un lapin ?   Ce n’est pas gagné !!

Plongée l’après midi, le premier groupe est très long à arriver, on attend avec impatience de plonger. A leur arrivée, ils annoncent qu’il ont vu un requin pèlerin et des mola mola, ça nargue dans tous les sens.

Espérons qu’ils n’ont pas bougé… on part rapidement à la recherche du fameux requin pèlerin. On aperçoit de loin ça nageoire supérieure. Wouahh trop bien ! Tout le monde à l’eau, à la course au requin. Super moment, inoubliable! Là vraiment on risque d’être difficiles pour les prochaines plongées…

Après cette deuxième journée on commence à comprendre les accros à la plongée.

RE APERO !!

Une dernière plongée le lendemain avec Laurent, avec petite initiation à l’orientation et un essai de « dressage » de poulpe… apparemment il n’était pas très intéressé.

 

Le weekend prend fin, retour à la maison avec les bouchons.

Merci à tout le monde pour leur accueil très chaleureux au sein du groupe. Merci aux moniteurs d’avoir été frustré d’être resté à 20 mètres,  aux conducteurs, et aux organisateurs du weekend.

A très bientôt

Ludwig et Mathilde

Supplique pour plonger à la plage de Sète

Salut tout le monde !
Alors, parlons peu parlons bien. Enfin, essayons tout du moins, il semblerait que j’ai une certaine habitude à m’étendre plus qu’il n’en faut.
Je prends donc la plume numérique pour venir conter la sortie des jeunes marsouins, fraîchement  (11°C…) passé niveau 1 en cette belle session dans le su’de la France, la susnommé Fabregas.
Ne nous mentons pas, voilà bientôt deux mois que l’escapade s’est déroulée, et au vue de mon grand âge, la mémoire fait vite défaut. Je vais néanmoins essayer de relater au plus proche la vérité. Cela ne devrait pas poser de problème, car comme vous le savez, nous, dans le sud, on ne déforme jamais rien ! (Et puis j’en ai profité pour regarder la vidéo d’Agnès, de fort bonne qualité, qui m’a rafraîchi la mémoire.)
 
*****
 

Nouveaux N1 !

Durant ce super week-end de plongée à Fabrégas, entre les dauphins et les 2 frères, sous un soleil radieux nos prépa N1 sont devenus de vrais plongeurs !

Avec Jim nous sommes donc fiers d’annoncer au club l’arrivée de 8 Niveaux 1.

Félicitations à Christine, Laurent, Hector, Lucien, Jean-Marie, Marc, Kristen, Tina.

Attendez-vous à les croiser sous l’eau ailleurs qu’à la piscine.

Merci à vous 8 pour votre prestation, prenez encore de plaisir lors de vos prochaines plongées !

Merci aussi aux moniteurs qui nous ont aidé cette année.

Et merci Agnès pour la vidéo !

Jef, Jim

Heureux évènement N2

Bonjour à tous,

Après un long travail ces 2 derniers week-ends avec l’aide de nombreux moniteurs (merci à eux !!), Cube et moi sommes très heureux de vous annoncer la naissance de septuplés Niveau II :

  • Rénald PAQUIOT
  • Amanie YAZIDI
  • Frédéric DUPIN
  • Mylène FERRUIT
  • Margaux VIGIER
  • Delphine FREIDA
  • Peter NAYLER

Lire la suite