Samedi 2 Octobre Lac Léman (site de Tougues)
un très bel accueil du club « ‘exocet Leman »
Quelques photos des joies de la plongée en Lac.(Merci aux photographes)
Samedi 2 Octobre Lac Léman (site de Tougues)
un très bel accueil du club « ‘exocet Leman »
Quelques photos des joies de la plongée en Lac.(Merci aux photographes)
Nous sommes tous impatients de rechausser nos palmes pour une nouvelle année ! Rendez vous le jeudi 16 septembre à 20h00 à la piscine des dauphins.
Le dossier d’inscription est téléchargeable ici:
PDF : Inscription ESSOR 2021-2022
Word : Inscription ESSOR 2021-2022
A compléter et à remettre aux secrétaires lors des séances piscines.
Deux informations supplémentaires ou complémentaires:
Pass sanitaire demandé pour accéder à la piscine
A très vite
Plongez Magazine de Nov/déc 2020 , nous propose un très beau témoignage du grenoblois et adhérant à l’essor, Christophe Jobazé
Bonne lecture
20 11 24 Magazine Plongez! de Nov-Déc
20 11 24 Article sur Christophe Jobazé dans le magazine Plongez!
A bientôt, et pourquoi pas dans la section apnée !
Toutes nos félicitations à nos nouveaux diplômés N1, et nos remerciements aux encadrants.
.
Nous attendons avec impatience un petit « récit » (déroulement, impressions…) de cette belle sortie club.
Qui se lance ? ou un petit mot chacun….
N’hésitez pas à me contacter,
Joëlle
pour la com
Samedi 30 novembre, rendez-vous à 8h (oui, c’est tôt!) au local pour le TIV.
Mais de quoi s’agit-il ?…
TIV est l’abréviation de « Technicien d’Inspection Visuelle ». La qualification de TIV est une des qualifications délivrées au sein de la FFESSM, et nécessaire pour les clubs qui souhaitent inspecter eux-mêmes leurs blocs. L’Essor compte quelques plongeurs qualifiés TIV, qui, accompagnés d’autres membres du club, se livrent annuellement à ce rituel technique.
L’inspection elle-même requiert une dizaine de personnes, car les tâches sont nombreuses : démontage intégral des blocs, identification des différents éléments (histoire de remonter le bon robinet sur le bon bloc !), inspection elle-même -qui consiste à vérifier l’état de corrosion interne et externe du bloc- diagnostic, puis éventuellement un petit coup de brossage,
un coup de peinture, un joint ou deux à changer, avant de procéder au remontage, dans l’ordre et avec méthode. Sans oublier la partie administrative, qui consiste à répertorier chaque bloc, et son état, dans la base de données mise en place par la fédé.
Cette opération concerne tous les blocs du club, ceux que vous utilisez en piscine, lors de vos premières bulles à Fabrégas, ou lors des autres sorties au cours de l’année. Il s’agit d’un incontournable, puisque la loi impose à tous les possesseurs de « récipients sous pression » de les inspecter (et « rééprouver ») périodiquement. La réépreuve sera pour un autre article.
Une fois encore, l’opération TIV de l’Essor s’est déroulée dans la bonne humeur, et a nécessité la matinée, temps nécessaire pour inspecter les 80 blocs prévus.
Après tant d’efforts, ils se sont retrouvés autour d’un repas bien mérité.
Merci à toutes et tous .
Pour ceux que cela intéresse, voici une vidéo de la société Roth (un des principaux fabricants de blocs de plongée) présentant la fabrication de nos chers blocs de plongée (par le procédé dit de fluotournage) : https://www.youtube.com/watch?v=hrSOyyFTTp8
C’est toujours mieux de savoir avec quoi on plonge…
Joëlle et Fred
Vendredi 4 octobre 2019 , 19h.
Déjà plusieurs membres de l’Essor attendent devant l’entrée de l’ALAS , il faut rappeler aux joueurs de percussions que la cloche a sonné et qu’il est l’heure de nous laisser la salle……….
La suite sur le site de l’Essor, dans la rubrique « Club » puis « Comptes rendus »
Le bureau
Voile et Plongée, édition 2019…
Chaque année depuis 21 ans (oui oui, vous lisez bien…), sous l’impulsion de quelques salariés de ST-micro, des compétences (personnelles et bénévoles) O combien précieuses de skippers et de moniteurs de plongée sont mises en commun pour réussir ce genre de mini-croisière : partir naviguer et plonger en autonomie dans le Parc National de Port-Cros, à partir de Catamarans habitables loués pour l’occasion…
Pour que ça marche, il faut tant d’ingrédients… un organisateur pour avoir des bateaux, des skippers, des encadrants en plongée, du matos, le (re)gonflage se faisant sur place à Port-Cros… mais tout ça, disons que c’est rodé maintenant !
Alors certes, c’est un we « du CiE d’ST » (où même des Baptêmes sont organisés, certains membres actuels du club ont commencé par là…), mais pour la plongée, c’est l’ESSOR qui fournit tout le matériel, et à ce titre, les adhérents au club peuvent s’inscrire (la différence entre les vies professionnelles des gens à bord, ne se voit pas beaucoup, et encore moins une fois en combi…)
L’autre ingrédient principal, c’est l’envie que ça marche, l’envie de partager sa bonne humeur, son expérience en voile, ou en plongée…
Pas d’expérience du tout ? même pas grave… c’est un peu à l’Espagnole, et tout le monde a forcément quelque chose à apporter, surtout s’il sait faire des Mojitos J.
Et puis vient LE paramètre qui peut rebattre les cartes chaque fois, la météo…
Cette année, un peu de Mistral Samedi, plus fort Dimanche, encore fort Lundi (matin), et « bascule d’Est » rapide pour le Mardi… c’était pas « pétole »… donc d’habitude ça complique la plongée, et renforce l’activité Voile…
Si on a plongé ? Ouais ouais, vite fait (comme dises les Ados) J…
Pointe du Vaisseau! Pointe de la Galère! Pointe de la Croix! Dalles de Bagaud pour les baptêmes…
Soit les plus belles plongées du Parc, presque full aux As par les Rois… C’est pas compliqué, il ne manquait que la Gabinière, mais c’est plus difficile de se mettre à l’abri de ce célèbre petit ilot avec un Catamaran lorsque ça souffle… (et du coup, ben faudra revenir…)
Pour la faune, rien ne manquait non plus, Port-Cros c’est la Méditerranée d’avant nos dégats… Corbs, Dentis, Mérous, Barracudas et autres Dorades, à toutes les plongées!…
Et pour le reste, ambiance au beau fixe !
Un seul Catamaran cette fois, mais équipage de qualité !
Super skipper ! (ok, meilleur en navigation qu’en pêche à la traîne…)
Organisation plongée optimisée ! entre météo et choix des sites… même les corvées de (re)gonflage quand ça souffle à 90km/h sur le village de Port-Cros se sont avérées « ludiques »…
Super Mojitos ! (je ne sais pas qui a la recette, mais il faut revenir…)
Les talents culinaires des uns comme des autres auront également régalé tout le monde…
Seul bémol ? c’est quand Ali choisi la musique… (Drums and Bass, faut essayer… 5 minutes, pas plus, hein Ali ?)
Bon, je passe le coup des 4 veinards qui ont prolongé l’expérience avec le Cata les mercredi et jeudi (le prix changeait pas…), avec beau temps calme et rencontre d’un Poisson Lune en plongée, car je sens que je m’énerve encore…
Ok Grég, tu peux mettre la photo… Mais m’en fiche ! je reviendrai, na !
Fabio.
Envie de faire ou refaire des bulles ? Rassurez-vous c’est pour bientôt !
La rentrée 2019 de l’ESSOR Grenoblois, c’est pour le mercredi 11 septembre.
Les horaires des séances piscine ? Tous les mercredis de 18h à 19h30.
Pour vous inscrire, vous pouvez télécharger le document suivant: Inscription-ESSOR-2019-2020.docx
Afin d’assurer le transport du matériel pour les formations en piscine (bouteilles, gilets, détendeurs), un roulement de volontaires doit être assuré chaque semaine. 2 volontaires par semaine: 1 qui a accès au local et 1 pour aider.
Pour s’organiser, un Doodle a été mis en place
Nous vous attendons nombreux!
Recit d’une plongée de nuit.
WE du 8/10 mai au Dramont, on est samedi, deuxième plongée de l’après-midi. La mer est belle, une douce chaleur nous fait apprécier l’eau un peu fraiche (19°C)
Après cette deuxième plongée, à l’unanimité sauf 4, nous décidons de faire une plongée de nuit. Rdv à 21h au club.
21h, les 16 motivés sont là. Alain, le gérant du club nous fait un briefing préparatoire au sec. Il nous rappelle les consignes spécifiques à la plongée de nuit, nous décris le site. Pierrot, notre DP, annonce les palanquées, tout le monde s’équipe et c’est parti!
21h30, tout le monde est à bord de la « chaloupe ». Chaloupe parce que c’est réellement une chaloupe de sauvetage de paquebot, qui a été réaménagée en bateau de plongeur.
Pour ceux qui ont vu le film, cela ressemble beaucoup à la chaloupe dans « L’odysssey de Pi », avec le tigre Richard Parker en moins!
Petite anecdote amusante : Il y a environ 4 ans, l’Essor avait fait un WE dans le même club, à bord de la même chaloupe. Chaloupe qui avait perdu son gouvernail lors de la manœuvre de sortie du port. Tous les plongeurs avaient dû sauter à l’eau et empêcher la chaloupe de venir s’échouer sur les rochers.
Mais le sort est conjuré, à 21h30, à la nuit tombée, Luc, notre pilote part sans soucis en direction des pyramides, face à l’Ile d’Or pour notre plongée nocturne.
21h40, Luc manœuvre pour accrocher la bouée… Première tentative ratée… Il recule… Un fort bruit métallique se fait alors entendre… Luc, inquiet, coupe tout
Je l’entends dire à Alain : « on a un gros problème ! »
Tout le monde se tait… Luc bataille avec son gouvernail… mais clairement, cela ne répond plus.
Nous ne sommes pas amarrés, il fait nuit, une légère brise nous pousse plein ouest, de plus en plus loin de l’Ile d’Or.
Le Radeau de la méduse… Ou plutôt le radeau de l’Essor dérive tranquillement.
Luc se met à l’eau et tente une réparation de fortune. Nous, on attend… On est dans le noir, l’air est doux, le vent se calme.
Nous avons le choix entre admirer la Lune et les étoiles pour ceux qui sont à tribord, ou les lumières de Saint Raphaël et Saint Tropez au loin pour ceux qui sont à bâbord.
22h (environ), Je vois Luc sortir son téléphone et passer plusieurs coups de fils.
Puis il nous annonce : Bon, nous n’avons plus de gouvernail. Nous dérivons. Un autre bateau va venir nous chercher.
Tout le monde à bord reste serein… les blagues sur le fait qu’il y a des problèmes de gouvernail à chaque fois que l’on vient fusent… L’ambiance est bonne enfant. Après tout, autant en rire : La mer est calme, il fait doux… Il y a pire.
Mais le temps passe… toujours pas de bateau en vu.
Luc repasse des coups de téléphone…Je l’entends essayer de décrire notre position au bateau de secours… Mais pas facile. Nous dérivons dans le noir et la mer est grande. Il s’en suit des dizaines de minutes ou Luc essaye d’avoir un contact visuel avec l’autre bateau à coup de signaux lumineux et de coups de téléphone.
Alex, toujours prêt pour le bon mot demande si le pilote qui vient nous chercher s’appelle Gilbert Montagné… Même Luc, tendu, va en rire.
Mais, miracle, dans le noir, au milieu de rien, on finit par entendre le doux ronronnement d’un autre bateau. Notre sauveur arrive. A la limite de la portée de nos lampes de plongées, nous voyons sortir du noir une autre chaloupe. C’est Pierre, le patron du club, qui nous a enfin trouver.
La rencontre est un peu « sèche »… « éteignez vos lumières » nous crit-il… nous obtempérons, puis Luc lui envoie un bout pour être pris en remorque.
Le retour vers l’ile d’Or est long… Nous avons beaucoup plus dérivé que nous ne le pensions.
23h, Pendant le retour, Luc nous demande si on veut encore plonger. Sondage rapide, un « OUI » en ressort.
C’est à ce moment, que dans ma tête, je passe doucement de « Plongeur » à « Président ».
L’idée de faire une plongée de nuit depuis un bateau non-manœuvrant, assisté d’un autre non-éclairé me pose question.
Pendant ce retour, je demande à lors à Luc comment la plongée va se dérouler. Sa réponse vague me fait comprendre qu’il n’en sait rien parce que c’est Pierre, le patron, seul sur le bateau remorqueur, qui va décider. Le même Pierre qui n’a jusqu’ici, ne nous a dit que « éteignez vos lumières ».
La situation me pose de plus en plus question.
Avec Pierrot, notre DP, nous commençons a faire le point pour savoir si la sécurité est toujours optimale pour faire notre plongée de nuit. Nous avons de plus en plus de questions sans réponses.
23H15, nous sommes de retour à l’Ile d’Or, l’encre est posée… Luc nous fait le briefing.
Mais le site n’est pas le même, il fait nuit noire, et nous n’avons jamais plonger de jour à cet endroit. Pour moi, le briefing n’est pas clair. Je ne comprends pas la géographie des fonds. Je redemande des précisions. Pierre, le patron, prend alors la parole sur un ton agacé.
Il nous re-décris le site, mais pour moi la version n’est pas la même. Entre les 2 briefings, les parcours et les profondeurs ne collent pas. En plus, allemand d’origine, son discours est franco-anglo-germanique… pas clair
23H30 L’atmosphère est beaucoup moins à la déconnade.
Dans ma tête, tout se bouscule… Le plongeur que je suis a clairement envie de plonger. L’encadrant que je suis doute sur le parcours à faire. Le Président que je suis se dit qu’il faut prendre une décision.
Fort de la discussion avec le DP (Pierrot), je fais le compte dans ma tête:
– Il est tard, cela fait 2H que l’on est en mer.
– Certains peuvent commencer à avoir froid
– Certains peuvent être fatigués
– C’est notre troisième plongée de la journée
– Nous sommes sur un bateau en panne assisté d’un autre sans feux, comment récupérer une palanquée perdue?
– Le site n’est pas connu et le briefing n’est pas clair
– Je sens clairement dans l’ambiance que la motivation et la confiance ne sont plus là.
Il faut décider. Je prends la parole, j’annule la plongée.
Finalement, tout le monde est soulagé. Sauf Pierre, toujours énervé, qui lâchera un « tout ça pour rien ! » avant de repartir sur son bateau et nous reprendre en remorque jusqu’au port sans un mot de plus.
On restera, pour certains d’entre nous, quand même admiratif de la technique de Pierre pour rentrer au port deux bateaux, dont le nôtre à la dérive.
Se termine ainsi notre plongée de nuit, qui n’aura été qu’une dérivante de nuit, façon radeau de la méduse.
Petite morale de cette histoire:
La plongée est un sport engagé, on le sait. Mais cela doit rester un plaisir et cela doit se dérouler dans des conditions de sécurité optimales.
A l’échelle d’un individu, ou du groupe entier, on ne doit pas rogner les marges de sécurité.
Oui, on a perdu une soirée à être balloté en mer. Mais on n’a perdu que ça.
Voir même, on a gagné une anecdote que l’on se racontera encore longtemps… Et moi, je ne verrai plus jamais Gilbert Montagné pareil!
Cette longue description de cette non-plongée de nuit ne doit pas occulté que nous avons encore passé un très bon WE ESSOR et dans une très bonne ambiance!
Bertrand
Alors, ma première sortie de plongée…
Après des séances d’entraînement dans la piscine c’est maintenant le grand moment, on part à Fabregas pour faire l’examen de niveau 1.
L’aventure commence vendredi, pour moi même déjà pendant ma pause de midi, avec un détour au magasin scuba wind, au sud de Grenoble. Il me faut louer une combinaison, car l’eau, ne va pas être trop chaude fin avril. La combinaison à deux effets :
1) Je suis tellement comprimée, c’est difficile de bouger sans se mettre à transpirer. J’essaye de convaincre le vendeur de m’en donner une plus grande, mais il m’assure: « faut que ça soit inconfortable hors de l’eau, sinon t’auras froid plus tard » Et bon, ça c’est convaincant !
2) Je me sens comme une héroïne trop stylée, avant de partir en mission dans cette combinaison noire moulante.
Et voilà, avec mon grand sac d’équipement je repars au travail où je montre fièrement tout ça à ma collègue.
Juste quelques heures plus tard, je me rends au lieu de rendez-vous à Saint-Égrève pour recevoir encore un sac d’équipement (bouteille, détendeur etc.) et monter dans le mini bus avec tout le monde.
Après quelques heures de route, il fait déjà nuit quand on arrive à notre hébergement. On prend une petite bière ensemble dans la nuit douce avant de se coucher. Ça fait déjà un peu vacances car notre hébergement est très chouette avec son grand jardin aux pins et avec l’odeur de la méditerranée dans l’air.
Le lendemain, on se retrouve dans la salle à manger pour le petit déjeuner. Une chose à laquelle nos moniteurs mettent l’accent, c’est qu’il faut toujours bien manger avant d’aller plonger. Je ne m’étais pas encore renseignée si c’est une particularité des clubs français, mais en tout cas ça m’arrange très bien ! 😉 Alors je me sers bien au buffet avant le départ au club, au bord de la mer.
On plonge en trinôme, un moniteur avec deux élèves. Monter la « stab » est encore un peu stressant pour moi, mais on vient m’aider et c’est bientôt le départ en bateau. Nous allons très rapidement au deux frères, deux grand rochers devant la côte .
Et voilà, c’est le moment d’immersion dans l’eau.
Alors, ça fait quoi?
Ça fait beaucoup de choses en même temps.
Heureusement pas trop froid, grâce à ma super combinaison. Mais ça change tellement de la piscine ! Il y a des vagues, une lumière bleu-pâle, et la chaîne de bateau avec laquelle on se tire dans les profondeurs. En même temps quand on se rend compte que l’on est le plus profond sous l’eau que l’on n’a jamais été avant dans sa vie, on aperçoit des bancs de poissons tout autour de soi. Et comme les petits poissons s’approchent de toi !. Sous l’eau les rochers font des “immeubles” de poisson avec des jardins des anémones qu’on commence à entourer. Notre moniteur nous guide, vérifie que nous allons bien et montre des animaux ou plantes cachées.
Après 30 min c’est déjà finit, la pression dans la bouteille a descendu à 50 bar et on remonte. Retour au club, ranger les affaires et retour à notre hébergement pour le déjeuner (très important!)
Et l’après-midi, hop, la même chose. Nous, les débutants, commençons à déstresser un peu et à voir plus de ce que nos moniteurs nous montrent. Après la plongée ils nous expliquent, avec l’aide d’un petit bouquin, ce que l’on vient de voir. Ma petite histoire : le poulpe qui s’enfuit devant nous dans son trou et commençait à se cacher derrière une porte fait de petits cailloux qu’il empile les uns sur les autres avec ses tentacules. Mais aussi il y avait cette murène avec son crabe nettoyeur ou des myriades, de petits poissons de toutes les couleurs.
Le soir on fait un petit apéro en l’honneur des nouveaux diplômés, et tout le monde reçoit son niveau 1. Comme ça, le prochain jour que l’on plonge, nous serons là en tant que vrai plongeurs!
Les deux plongées du deuxième jour se font au même endroit, car le temps ne nous permet pas de changer. Mais ça veut pas du tout dire que c’était moins intéressant ! En tout cas, l’orientation sous l’eau c’est encore un peu difficile, avec la nouvelle dimension ajoutée…
Ce jour là on a même le temps de profiter de la soleil à la plage pour un petit moment entre le midi et la deuxième plongée.
Mais malheureusement le fin de week-end s’approche, et il faut remonter encore dans le mini bus pour le retour à Grenoble. Petit casse-croûte sur l’autoroute et hop, nous sommes arrivés.
Il faut faire ses adieux, mais heureusement pas pour longtemps, car il y a les cours de mercredi. Et on nous assure qu’il y a encore beaucoup de choses à apprendre.
Et plus des sorties de plongée à participer pendant cette année !
Ricarda
J’ai adoré cette première sortie plongée, nous avons fait de très belles plongées, mais l’eau était un peu froide. Nous avons vu plein de choses différentes, même si c’était sur le même site. Par exemple, pendant la première plongée nous avons vu beaucoup de murènes mais pas sur les autres. Et à ma troisième plongée j’ai vu un poulpe.
Merlin
J’ai vraiment aimé cette première sortie, l’ambiance et le club étaient sympas. J’ai aimé aussi plonger en famille dans de bonnes conditions, avec plein de poissons différents. C’était super de pouvoir enfin mettre en pratique en mer ce que nous avions appris en piscine. Nous avons même eu une démonstration en live du principe d’Archimède grâce à notre moniteur (L.) qui nous a démontré que ce n’était pas facile de s’équilibrer quand il manque du plomb !
Némo
Contribution des parents : D’où le dicton : si tu donnes ton plomb, adieu le fond !